Les saines habitudes de vie peut ralentir le déclin de la mémoire 

Un mode de vie favorable a aussi été associé à un risque plus faible de progression vers un trouble cognitif léger ou vers la démence. Photo: Pexels

(Jean-Benoit Legault/ La Presse) — Une saine alimentation est l’habitude de vie qui a eu le plus grand impact sur la préservation de la mémoire. Suivaient, dans l’ordre, la participation à des activités cognitives actives, une activité physique régulière, une vie sociale active, l’absence de tabagisme et le fait de n’avoir jamais consommé d’alcool.

De plus, a dit le docteur Serge Gauthier, l’effet bénéfique de ces bonnes habitudes est cumulatif : au lieu de se concentrer sur une seule (et de chambouler complètement, par exemple, son alimentation), il est préférable d’apporter des améliorations modestes à quatre d’entre elles.

« La combinaison de facteurs est plus importante que juste un facteur, alors ça ne sert à rien de faire de la gymnastique et de ne rien faire d’autre, a-t-il dit. Il faut quatre facteurs sur six pour avoir le maximum de protection. » (…)