Découverte de nouveaux gènes associés au cancer du sein

La prochaine étape sera de valider les résultats de l’étude avec d’autres données, ce qui permettra aussi d’améliorer la prédiction du risque. Photo: Pexels

(Erik Chouinard/Radio-Canada) — Une équipe de recherche internationale qui inclut des chercheurs de l’Université Laval a identifié au moins quatre nouveaux gènes possiblement associés à un risque accru de cancer du sein. Éventuellement, ceux-ci pourraient être ajoutés aux tests de dépistage génétique, permettant à plus de personnes de connaître leur niveau de risque et d’avoir des suivis en conséquence.

L’étude a été menée par Naomi Wilcox de l’Université de Cambridge et dirigée entre autres par le professeur Jacques Simard de l’Université Laval. Elle a été publiée dans la revue Nature Genetics (Nouvelle fenêtre).

Les mutations génétiques repérées demeurent très rares dans la population générale. On les trouve beaucoup moins fréquemment que les gènes qu’on connaissait déjà, indique Jacques Simard, chercheur au centre de génomique du Centre de recherche du CHU de Québec-Université Laval. (…)