5 problèmes de sommeil qui exposent à l’AVC

Celles et ceux qui dormaient moins de 5 heures étaient trois fois plus susceptibles d’être victimes d’un AVC que celles et ceux qui en dormaient 7. Photo: Pexels

(Vincent Roche/ Destination Santé) — Dormir trop ou trop peu, faire des siestes trop longues, ronfler ou souffrir d’apnée du sommeil… Selon une étude publiée dans Neurology, la revue médicale de l’American Academy of Neurology, les personnes souffrant de ces problèmes de sommeil sont plus susceptibles d’être victimes d’un accident vasculaire cérébral.

C’est désormais établi, des nuits de mauvaise qualité favorisent les maladies cardiovasculaires, notamment le risque d’AVC. Mais à quel point ? Et tous les problèmes de sommeil se valent-ils ? Par exemple, est-ce que ronfler expose aux mêmes risques que le fait d’être insomniaque ?

Des chercheurs de l’Université de Galway en Irlande ont conduit une étude auprès de 4 500 personnes dont la moitié a eu un AVC. Les participants ont été interrogés sur leurs comportements de sommeil, notamment sur le nombre d’heures dormies, la qualité du sommeil, s’ils ronflaient, etc. (…)